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Affichage des articles du novembre, 2015

Hommage aux victimes de l'attentat du vendredi 13 novembre 2015 ce soir....

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Aujourd'hui J'ai déposé une rose sur le tombeau de l'Humanité Aujourd'hui J'ai déposé une rose sur l'innocence perdue... Ce soir  J'allumerais la flamme d'une bougie pour dire que tout n'est pas perdu Ce soir J'allumerais la flamme d'une bougie pour vous dire de toujours espérer... cliquer ci apres pour   3 façons de rendre hommage

Poésie ... La sentinelle...

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Inspiré Librement du Chant des partisants Je suis la sentinelle ...  face au front noir des corbeaux ... De la Paix je suis porte drapeau  Humanité courageuse et rebelle Sous l'attaque, n'abaisse pas ton flambeau ... Armée d'une Ardente Lumière  brisant l'ombre des couteaux Plantés sur leurs crânes ... Construisant de macabres ossuaires Ils ont salis la pureté de leur âme cédant aux pulsions de l'horreur Comme un Minotaure affiche sa fureur Face au monstre issus des abysses Je combattrais en brave ... Je porte l'étendard de la Liberté  bien haut ... La guerre est dans la plaine Les corbeaux entrent dans la ville ... Armés et revendiquant leur haine ... Je suis la sentinelle ... Eprise de fraternité Nous ne ploierons pas Nous resterons soudés Nous ne sommes pas une nation qu'on enchaîne!

Mise à l'honneur...un très beau texte de Patrick Carré....

son blog http://www.patrick-carre-poesie.net/ L’Islamo Une douleur lancinante ronge la République, Ses voiles de larmes amères inondent ses idéaux ; Combien de morts encore avant qu’elle réplique Sans sommation : dehors ! à jamais ! l’Islamo ! Il trahit tous ses frères au croissant pacifique, Et se renie lui-même en mourant en zéro, Même la poussière oublie son vide pathétique, Il n’a jamais été que l’ombre d’un escroc. La France abrite à tort ce sans-nom, ce sans-terre Anonyme où se terre le pire des fléaux : La folie meurtrière d’un tueur solitaire, Sans armée, sans couleurs : le noir est son drapeau. Une terre d’aliénés n’est pas une terre d’asile, Juste un pont suspendu sur les flots déchaînés Des haines entretenues dans des cerveaux débiles Par l’envie d’en finir, se laisser entraîner. France ! Réveille-toi et renais de tes cendres ! Tes devoirs et tes droits sont violés à toute heure ! Partout dans le pays on ne cesse d’enten

Communiqué commun de la Guilde des Blogueurs Maçonniques.

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Communiqué commun de la Guilde des Blogueurs Maçonniques. Les blogs maçonniques qui publient ce texte ne souhaitent pas ici remplacer leurs obédiences, leurs loges, leurs frères et leurs sœurs. Nous souhaitons, chacun en notre propre nom, montrer notre solidarité commune, ceci malgré nos divergences. Nos engagements respectifs et nos démarches initiatiques aussi différentes soient-elles nous obligent aujourd'hui à communiquer ensemble et à dénoncer d'une même voie cette série d'attentats de ce 13 novembre, cette barbarie et ce mépris aveugle pour toute vie humaine. C'est par la transmission de nos valeurs que nous pouvons vaincre, non pas par la haine, les amalgames et toute forme de procès d'intention. Il y a des assassins qui circulent, qui souhaitent nous condamner à la guerre civile et de religion contre nos frères en humanité. Ce sont ces assassins qu'il faut arrêter. Nous souhaitons croire que ce seront nos valeurs de liberté, d'égalité et

Contre la tyrannie....

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tiré de wikipedia La  Marseillaise  est un chant patriotique de la  Révolution française  adopté par la France comme  hymne national  : une première fois par la  Convention  pendant neuf ans du 14 juillet 1795  jusqu'à l' Empire  en 1804, puis définitivement en 1879 sous la  Troisième République 1 . Les six premiers couplets sont écrits par  Rouget de Lisle  en 1792 pour l' Armée du Rhin  à  Strasbourg , à la suite de la  déclaration de guerre de la France à l'Autriche . Dans ce contexte originel, la Marseillaise est un chant de guerre révolutionnaire, un hymne à la liberté, un appel patriotique à la mobilisation générale et une exhortation au combat contre la  tyrannie  et l'invasion étrangère. La Marseillaise est décrétée chant national le  14 juillet 1795  (26 messidor an III) par la Convention, à l'initiative du  Comité de salut public . Abandonnée en 1804 sous l’Empire et remplacée par le  Chant du départ , elle est reprise en 1830 pendant la rév