Le devoir de fraternité ..... Poésie maçonnique
Toi que j'appelais mon Frère
le peu que nous nous rencontrions
Mon accolade était fraternelle, et sincère
Mais en toi se cachait déjà la trahison
Nous avons vécu la même initiation
traversant les épreuves de l'eau, de l'air et du feu
Oui , toi que j'ai appelé mon Frère
Nous avons fait les mêmes voyages périlleux
Nous avons découvert tous deux la Lumière
Elle était là pour nous guider
Mais nous avons vu aussi derrière
la rangée de Franc-Maçons tenant le glaive et l'épée
As tu oublié ces paroles? prononcées d'une voix claire
sur les serments, les traitres et les parjures....
Tu avais jurer de soutenir tes Frères
La main sur l'autel des serments, tu as dis "Je le jure"!
Tu as joué le jeu des mauvais compagnons
Ainsi périt l'homme juste fidèle à son devoir
Tu portes désormais en toi la marque du parjure
gravée sur ton front, au fond de ta mémoire
car tes gestes ne sont que trahison
Tu avais renouvelé des serments ,
au cours d'autres initiations...
Promis amitiés et dévouement à tous les Francs-Maçons
Manquant à ces promesses, tu t'es déshonoré
Toi que j'ai appelé mon Frère
issus d'une même Fraternité
Car de Franc-Maçon? .....
Tu n'en portes que le nom
Tu n'en portes que le nom
En général, un maçon qui manque à ses serments ne reste pas et démissionne,ou au pire ses FF lui feront comprendre qu'il vaut mieux se retirer pour réfléchir, la fraternité est l'essence même de la FM qui seule permet de travailler sereinement, comment oublier ses serments d'une telle FORCE ? il reste FM ayant été initié, mais ne portera que le nom. Situation toujours douloureuse , mais heureusement rare
RépondreSupprimerélégante manière de montrer ta déception !
RépondreSupprimerMerci du renseignement ! Je ne connaissais pas ce poème d'une très grande ressemblance avec le rituel du R.E.R.
RépondreSupprimerT.A Dans Tout Les Chiffre Que L'On Connais
Affection Écossaise ! J-Cl
Hou... que tu as du souffrir pour que de tels mots naissent dans ton esprit !... Cela ne retire rien de la puissance de ton poème (magnifique !), mais combien de souffrance avant de pouvoir mettre en vers ce que d'autres ont mis à mal ...
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